Appuyez-vous sur la réflexion qui précède afin de formuler des principes de justice devant réguler les institutions sociales en vue de la répartition juste et équitable des biens premiers.
Autrement dit, énoncez les règles générales d’action déterminant ce qui devra socialement être fait pour que la société soit juste.
La difficulté consiste à trouver des idées permettant que la liberté de tous n’entre pas en contradiction avec la justice?
Nous pouvons aussi nous demander, comment faire pour assurer l’équité malgré les différences?
Ouverture d’esprit
Vivre et laisser vivre
Écoute
Pas de macro état
Mettre le bien être comme priorité
Abolir le capitalisme
Faire diriger notre société par des rats
Éduquer les gens
Éradiquer la race humaine
Punir par les mêmes gestes commis
Le système d’éducation est maintenant composé uniquement de cours d’art, d’éducation physique et d’épistémologie. Tous les trois sont obligatoires et libres à tous. Aussi : communisme.
-Droit de vivre
-Droit de pardon si l’individu prouve qu’il regrette son geste/crime
-Mesures adapté après la prison pour faciliter son retour en société
Pour que la société soit juste, plusieurs changements devraient être fait. Premièrement, l’éducation devrait être libre d’accès à tous. En ayant de l’éducation, on a tous une chance égale d’accèder à l’emploi et nos connaisances seront à peu près toutes égales. Aussi par l’éducation, on peut apprendre la discrimination et l’éliminer comme la discrimination des personnes de couleur, la langue, la naitonalité, la sexualité, le genre et autres. Aussi , les besoins de base, donc l’hygiène, la faim, la sécurité, estime de soi, de se réaliser, de se vêtir, d’une habitation devraient avoir une égalité entre tous. Cela ferait une société très juste et égale.
Afin que les institutions qui régissent notre société soient plus justes et équitables, la société devrait donner aux individus la possibilité de s’éduquer sur les différences qui déchirent notre monde. Puisque la discrimination découle principalement de l’ignorance, l’éducation pourrait être utile pour la diminuer voire l’éliminer. Impliquer la communauté au complet (communauté qui pourrait être beaucoup plus petite) dans le processus décisionnel de justice et de politique permettrait d’améliorer l’inclusion.
– Chaque individu a droit à la liberté
– Chaque individu est égal à son prochain
– Chaque individu à droit au respect et doit respecter son prochain
règles générales d’action déterminant ce qui devra socialement être fait pour que la société soit juste.
-Vivre et exister de manière libre
-Exister à sa manière est assez de liberté, car après tu peux penser de la manière que tu veux, ou pas.
-Vivre et exister sans brimer son prochain et sans le faire sur le dos de celui ci, dans l’idéal et si voulu des deux partis, de manière conjointe.
Pour arriver à une justice qui respecte les droits et libertés individuels, voici comment nous régulerions les institutions sociales: tout passe par la valeur de sa contribution à la société. En n’instituant aucune loi/règle et en assurant une équité et une égalité des chances de s’émanciper, les individus peuvent donc être motivé par une quête personnel sans être brimé par une entité dominante.
Une solution aux problèmes précédemment mentionner est de les combattre avec l’éducation et la sensibilisation sur divers sujets. On devrait aussi repenser le système éducatif et rendre l’accès à l’éducation universelle. La société devrait offrir un point de départ équitable, selon les besoins de chaque individu.
Discrimination
– La discrimination passe, entre autre, par l’éducation. Tout le monde devrait avoir accès à l’éducation. Ex: programmes éducatifs contre les enjeux sociaux comme racisme, homophobie, etc.
Économie
– Arrêter la corruption en achetant des services (privilège des riches). Ex: Interdiction d’utiliser l’argent pour se sortir d’une situation indésirable
Marie-Pier Guévin, Eve Myette, Adèle Saulnier
La justice doit servir à la liberté commune. Les libertés individuelles peuvent entrer en conflit avec la justice et par conséquent les libertés immuables de chacun que sont le droit de vie, l’intégrité ou la sécurité, entre autres.
La liberté est par conséquent une perpétuelle remise en question sur les actes individuels et un équilibre sur une balance très sensible qu’il faut savoir maintenir. Une liberté absolue mènerait à l’anarchie, et à l’inverse, un manque total de liberté serait la tyrannie.
Je pense qu’un des principes les plus faciles à appliquer mais que le monde s’obstine à ne pas appliquer est celui qui respecte la liberté des autres. La liberté est en effet un droit bien précieux mais qui doit tout de même s’arrêter là où celle des autres commence. Je suis libre de critiquer ce que je veux mais si cette critique blesse inutilement autrui, pourquoi la dire ?
L’autre principe qui manque à notre monde est le respect des différences. Que ce soit la différence de couleur, de taille, de culture, de langue, de religion… peu importe, on doit respecter la particularité de chacun sans essayer d’imposer notre façon de faire.
On vivrait tellement en paix si ces deux principes étaient appliqués.
Pour que la société soit juste, il faudrait que tous aient les mêmes chances. Il faudrait que tout le monde ait les mêmes opportunités de réussir et que tous puissent combler leurs besoins de base. Pour une société juste, la liberté doit être limitée afin qu’elle n’enfreigne pas celle des autres.
Je voulais ajouter, que donner les mêmes chances à tous n’est pas suffisant, car les choses peuvent bousculer le tout. Par exemple, une personne qui perd son partenaire et qui devient mono-parental n’aura plus les mêmes chances que tout le monde. Il faudra donc que l’équité entre en jeu, comme pour une personne handicapée. Donner les mêmes chances à tous, c’est de l’égalité, mais certains ont besoin de plus ou on besoin d’accommodements différents, d’où le principe d’équité. Enfin, l’intérêt individuel ne devrait jamais dépasser l’intérêt collectif.
Ces phrases qui résume si bien nos règles général
«La justice doit être la première vertu des institutions sociales, c’est parce que les citoyens d’une société libre ne pourraient avoir l’obligation d’obéir à un ordre injuste.»
«Notre liberté s’arrête quand celle-ci compromet la liberté de l’autre.»
La déconstruction de nos apprentissages est un pas individuel à effectuer pour se libérer de l’intériorisation de la hiérarchisation naissant de l’hégémonie blanche. Tous les domaines modernes structurant nos connaissances sont influencés par cette hégémonie, ce qui signifie que le travail est interminable; si rien n’est objectif, si tout est teinté de cette obsession de blancheur, cela nécessite une remise à zéro des modèles que l’on s’est construit (économique, politique, social, etc.) Je crois que de suivre un plan décolonial et intersectionnel est un premier pas.
Pour arrivé à une vrai égalité et justice, il faudrait réformé tout le système social et tout le système économique de notre monde occidental. Il faudrait aussi que l’humain arrête de d’abord chercher ses propres intérêts avant ceux des autres.
– Notre liberté s’arrête quand celle-ci compromet la liberté de l’autre.
– Faire preuve d’empathie.
– Respect des autres et de soi-même.
– Reconnaissance d’autrui.
S’assurer que tous ai droit à une éducation adéquate adaptée, que tous ai droit aux soins de santé et que tous ai accès à des ressources de bases sans craindre d’être discriminé.