Le catéchisme me sort des yeux
Ma tête brûle des cœurs en robes noires
Assis sur des murailles froides
Je compte la neige flocon par flocon
Pendant que des navires aux dents de fer
Grugent les glaces sous des regards en croisière
Ma pensée glisse vers des plaines ensanglantées
Que le loup a quittées en hurlant un sacre anglais
À la seigneurie de Sillery
Je tourne les pages d’un acte de propriété
Signé par des hommes aux grands sourcils
Qui ont toujours voulu mon bien
Il est bon d’en parler